"Moscou-Paris" Bilan, 4 mois plus tard...
Publié : mar. 19 juin 2018 16:56
Salut à tous.
On nous en avait rebattu les oreilles.
En intensité, le refroidissement avait, en fait, été très modéré.
Moins 4° chez moi. Ridicule par rapport au -12° pendant 10 jours de l'hiver 2012...
Mais a un très mauvais moment.
L'hiver avait été très doux. Tout débourrait. Magnolia soulangeana
et Clematis armandii étaient passées à fleur.
Le bilan "à chaud" (si j'ose dire ) était anodin.
Une saison de floraison perdue... On s'en console vite.
Mais pas de dégâts apparants sur les plantes, elles-mêmes.
Quatre mois plus tard, le constat des dégâts est bien plus lourd :
Une des variétés d'oléandre ad patres. Et une autre qui ne s'en remettra sans doute pas.
Un céanothe à 90% crevé.
Un solanum rantonetti de 4m, totalement séché. Il repart, avec difficulté, de la souche.
Et le constat définitif des dégâts n'est pas arrêté.
Ils sont bien plus importants qu'en 2012.
Bien plus grand froid, il y a six ans, mais sur une végétation qui roupillait.
L'intensité d'un gel n'est rien. C'est le moment où il survient
qui en fait une anecdocte ou une catastrophe.
Et chez vous ?
On nous en avait rebattu les oreilles.
En intensité, le refroidissement avait, en fait, été très modéré.
Moins 4° chez moi. Ridicule par rapport au -12° pendant 10 jours de l'hiver 2012...
Mais a un très mauvais moment.
L'hiver avait été très doux. Tout débourrait. Magnolia soulangeana
et Clematis armandii étaient passées à fleur.
Le bilan "à chaud" (si j'ose dire ) était anodin.
Une saison de floraison perdue... On s'en console vite.
Mais pas de dégâts apparants sur les plantes, elles-mêmes.
Quatre mois plus tard, le constat des dégâts est bien plus lourd :
Une des variétés d'oléandre ad patres. Et une autre qui ne s'en remettra sans doute pas.
Un céanothe à 90% crevé.
Un solanum rantonetti de 4m, totalement séché. Il repart, avec difficulté, de la souche.
Et le constat définitif des dégâts n'est pas arrêté.
Ils sont bien plus importants qu'en 2012.
Bien plus grand froid, il y a six ans, mais sur une végétation qui roupillait.
L'intensité d'un gel n'est rien. C'est le moment où il survient
qui en fait une anecdocte ou une catastrophe.
Et chez vous ?